Pour un moment de franche rigolade, je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans L’ennui du mort vivant de Luc Doyelle.
Avant toute chose, la quatrième :
Tout le monde a, dans son entourage, un ou plusieurs tueurs en série (serial killers). C’est du dernier chic dans les salons mondains. Mais connaissez-vous les tués en série (serial killed) ? Ah, on fait moins le malin, hein ? Vous allez me dire : ça n’existe pas. Personne ne peut mourir plusieurs fois. Vraiment ? Laissez-moi vous raconter l’histoire d’un casse-couilles de classe mondiale, un alcoolo de premier ordre, surnommé le vrai con malté. Peut-il, à l’instar des chats, posséder neuf vies ? Ou s’épuisera-t-il avant ? Une seule façon de le savoir : se jeter sur « L’ennui du mort-vivant ». À vos risques et périls.
Le style est excellent, l’humour est hilarant, y’a du grand n’importe quoi, mais c’est du n’importe quoi réfléchit, des jeux de mots tirés par les cheveux, des bons mots, une histoire bien ficelée, bref, un vrai bonheur qui vous accrochera le sourire aux lèvres !