Peu avant Noël, le deuxième opus de la saga Ivy Granger d’E.J. Stevens est sorti, et pour cause, Du sang sous le gui est, pourrait-on dire, un conte de Noël. Avant toute chose, la quatrième de couverture :
Les fêtes rendent les gens fous encore plus que la pleine lune. À Harborsmouth, où de nombreux résidents sont des vampires morts-vivants ou des fées monstrueuses, la combinaison peut s’avérer fatale.
Dans ce nouvel opus de la série de fantasy urbaine à succès, la détective privée paranormale Ivy Granger arpente à nouveau les rues de Harborsmouth.
Les fêtes, c’est l’Enfer. Cela se confirme quand un certain avocat démon revient avec des informations concernant une série de meurtres sanglants. Cinq résidents ont été tués, et le point commun entre les victimes ? Ce sont des fées. Quelle que ce soit l’identité de l’assassin des fées, il faut l’arrêter, mais il ne laisse qu’un seul indice sur les scènes de crime : un brin de gui flottant dans une mare du sang des victimes.
La période des fêtes est subitement devenue intéressante. Dommage que cette affaire risque de rendre Ivy folle avant la nouvelle année. Pardi, elle aurait de la chance de survivre Noël.
Une nouvelle passionnante et palpitante qui se lit très bien, un vrai plaisir de retrouver Ivy, La Poisse et leurs amis… mais aussi leurs ennemis. De l’action, de l’amour, de l’humour, du suspens. Peur, angoisse, soulagement, rire, les émotions se mêlent et se mélangent au cours de la lecture. Vivement la suite !